27 avril 2010
LES SAIGNEURS
Toi qui lis ces lignes, n’entends-tu pas les crisDe tous ces peuples souffrants aux bonheurs proscrits ?Regarde sur les faces pales la morsureQu’a laissée là, la semelle de leur chaussure. Ils se pavanent, fiers, dans leurs grosses voitures,Ils n’ont...